Cadeau d'anniversaire...

Tu avais trouvé notre dernière sortie au hammam peu intense, il n'y avait à ton goût pas assez d'homme bi, en effet cet après midi là un seul s'est joint à nos jeux... Je t'ai quitté ce jour là déçue il me semblait que c'était de ma faute si tu n'étais pas comblé.

Il fallait donc que je me rattrape, l'occasion c'est présentée pour de ton anniversaire, il me fallait un cadeau digne de toi, j'ai donc pris contact avec Jack chez qui tu m'avais emmenée pour être offerte à lui et ses amis, mais il y a une chose dont tu n'étais pas au courant c'est que Jack et ses amis sont bi, pas bi débutants ou bi légers, mais « très » bi...

Rendez vous est donc pris pour le 25 février, ils viendront chez moi comme cela tu ne pourras te douter de rien, car je t'ai toujours demandé de ne pas amené d'hommes seuls à mon domicile...

Ils sont tous là, à prendre un café en t'attendant, cinq mâles rien que pour toi... tu arrives monte directement dans la chambre ou je t'ai demandé de m'attendre à quatre pattes sur le lit, tête baissée, je te découvre ainsi offert et une bouffée d'amour me submerge encore mon coté romantique qui me joue des tours, alors je dirais que je dégouline d'excitation ca fait plus sérieux pour une Domina... Je m'approche de toi, te caresse, te respire, embrasse tes épaules, je m'accroupis devant toi pour être à ta hauteur, et je viens murmurer à ton oreille qu'aujourd'hui la pute ce sera toi, que j'ai décidé de t'offrir, de te faire loper, de te faire sucer des bites à n'en plus pouvoir, et à te faire baiser sans ménagement, tu veux du soutenu et bien tu vas en avoir....

je m'absente le temps d'aller chercher nos invités, qui se déshabillent dans la chambre d'à coté, j'ai pris le soin de te bander les yeux, tu ne sais donc pas combien ils sont, surprise totale, ils se présentent à toi queues tendues, je te présente à eux, leur dit combien tu aimes les bites, et combien tu rêves de te faire enculer à la chaîne (enfin ça je crois que c'est plutôt moi qui en rêve). Ton excitation est visible, je palpe ta queue pour en vérifier la dureté...

Je veux que ces mecs abusent de toi comme la dernière des putains, qu'ils te souillent de leur jus, je veux qu'ils t'avilissent, qu'ils te traitent comme une catin...

Je te veux offert, désirant, abusé, épuisé...

Je veux pouvoir me nourrir de ton plaisir, te sentir à travers eux...

Je veux que tu ressentes enfin ce que toi tu me ressentir en m'offrant sans aucun égards...

Je veux ensuite te posséder, baiser avec toi collant de leurs foutres, je veux trouver le goût de leurs bites sur ta bouche...

Tu voulais de grosses queues pour moi... je les ai trouvées pour toi...

Rien ne te seras épargné... durant plus d'une heure tu passeras de bites en bites, ils prendront ton cul étroit, ils baiseront ta bouche de leurs tiges tendues, tu seras pris comme la dernière des lope.
Alors que l'un d'eux s'active dans ton cul les quatre autres se font sucer... Puis l'un d'eux t'allonge sur le dos et te baise comme une gonzesse tes jambes posées sur ses épaules l'un d'eux te propose sa queue que tu avales avec gourmandise, c'est un cul maintenant que tu lèches pendant qu'une main inconnue te branle... Il profite de toi avec une sensualité folle...

Je regarde, non j'admire ce que tu es en train de nous offrir, je n'aurais pas fait mieux, sourire, tu es vraiment une bonne pute et je suis fière de toi...

Tour à tour tu les feras jouir certains dans ta bouche, d'autres dans ton cul, ils nous quitteront comblés, je crois que nous nous sommes fait de nouveaux amis... la prochaine fois nous leurs serons offert tous les deux, toi et moi putains côte à côte unis dans la perversité et la folies de nos jeux et cette fois promis... tu n'auras pas les yeux bandés...

A Toi à jamais, à Nous à jamais

Cypris
le 05 mars 2010

L’envers du décor

Tu me dis sublime, tu te dis comblé,

Tu es là devant moi les yeux bandés et je ne suis là plus que pour ton plaisir,

Les bougies sont allumées, nos jouets attendent sagement posés sur la table basse,

Plantée sur mes talons aiguilles je joue avec ton corps offert, mes mains ne tremblent pas,

Pourtant, il y a tout ce que tu ne vois pas, tout ce que à quoi tu ne penses pas, tout ce que tu ne peux imaginer…

Le choix du scénario tout d’abord, tes envies te conduisent parfois (trop peu d’ailleurs) à me laisser les rennes de nos jeux, de Maître exigeant tu deviens soumis magnifique, et moi je me torture le cerveau durant des semaines pour trouver les plus délicieux des sévices, le plan qui te fera tripper, ou les personnes que nous aimerions rencontrer (et que je n’ai pas encore trouver).

L’intendance : Il me faut me débarrasser des jeunes pour que nous puissions avoir la maison pour nous seuls, il me faut préparer un dîner qui te plaira, il me faut rendre la maison présentable.

Ensuite, les préparatifs, je cours les magasins pour trouver l’objet qui te fera défaillir, le matériel qui fera de moi une bricoleuse hors paire.

Il me faut gérer la pression, je n’ai pas le droit à l’erreur, toi tu ne t’es jamais trompé, tu ne m’as jamais déçue, tu as mis la barre haute…

Dans quelques minutes tu seras là, j’ai la gorge nouée, les mains moites, envie de faire pipi toutes les cinq minutes, car nous sommes adeptes de pluie dorée mais je ne suis pas une grande donneuse, alors avant ta venue je suis obligée de boire au moins 1.5 litre de thé.

Ca y est tu frappes à ma porte, une grande inspiration plus tard je suis en train de déshabiller lentement et voilà déjà la première épreuve… tes chaussures que je n’arrive pas à t’enlever, rester calme…

Tu as les yeux bandés et je te guide doucement dans le salon, ne pas se prendre les talons aiguilles dans le draps qui est posé sur le sol, faire attention à ce que tu ne te cogne pas les orteils au pied de la table.

Ensuite commence pour toi la valse de mes tortures, oui mais… il faut maintenant apprendre à doser, pas trop doucement, pas trop fort, pas trop peu, pas trop…. Et puis tu as les bras attachés au dessus de la tête n’as-tu pas mal au épaules, et les pinces sur tes seins ne te font elles pas trop souffrir, et combien de poids à celle accrochées à tes couilles.

Les glaçons ou sont passés les glaçons ? Les voilà ouf, mais maintenant j’ai perdu le briquet pour allumer la bougie… Prendre des photos sans te donner l’impression de te délaisser, sans couper le fil de nos jeux.

Changer les pinces sur ton sexe, mettre celle qui vibre, oui mais est ce que tu aimes ? Cette sensation de vibration ne t’agace t elle pas ?

Zut j’entends dehors mon frère qui arrive avec ses enfants, tu dois les entendre toi aussi, cela va te déconcentrer, te faire débander.

J’ai mal aux pieds, je quitte en douce mes escarpins… Ne pas oublier de boire encore…

Mélanger le chaud et le froid, alterner la douleur et les caresses, les douces tortures et les baisers.

Ne pas oubliez ces mots que tu aimes tant, et que je n’arrive pas encore à dire, attendre tes demandes qui ne viennent pas et qui ne me permettent pas de dire ses phrases que j’ai si longuement répétées pour qu’elles te paraissent véritables.

Oubliez que je suis ta soumise, ou ai-je foutu l’appareil photo, ne pas trop serrer la corde qui maintenant enserre tes couilles, j’ai encore envie de pisser mais il est trop tôt, le gel est trop loin de moi et j’ai déjà mes doigts dans ton cul, je n’arrive plus à mettre mes escarpins car mes pieds ont gonflés, quelle heure est il ?? Le jeu a-t-il assez duré, en veux tu encore ?

Et puis il y a toutes ces émotions, l’amour (et oui encore) qui envahit mon coeur, l’envie qui me vrille les entrailles, la peur qui fait dégouliner dans mon dos cette sueur froide, le doute de ne pas te combler, de dépasser tes limites ou de ne pas aller assez loin, mes larmes quand tu me demande de te battre et que tu ne vois pas couler sur mon visage, le désir qui me fait mouiller, les frissons lorsque tu soupires, la fierté lorsque tu résistes, le besoin lorsque je suis contre toi.

Emotions puissantes, bouleversantes, renversantes, qui me donne envie encore et encore…

Je ne cesse de me nourrir de toi, de tes regards, de tes soupirs, de tes jouissances, de tes humeurs, de nos mots et de nos maux.

Je suis dépendante de Toi, tu es la plus douce des drogues,

A Toi à jamais, A nous à jamais

Cypris

Le 17 Mai 2009

Une promesse est une promesse

Lors de nos retrouvailles  début janvier je t’ai fais une promesse, celle de te fister…

Toi qui me reproches d’être affreusement romantique voilà qui devrait casser mon image,

Si investir ton cul me motive grandement, j’avoue que je ne sais jamais si l’instant est bien choisi, tu restes le Maître, et je ne sais jamais ou vont tes envies…

Aujourd’hui pourtant j’avais décidé de m’occuper de toi, la seule chose à faire… te laisse croire que cela venait de toi, puisque que tu es le « chef ».

Après un café, nous sommes montés dans ma chambre, nous avions du rangement à faire, nos jouets avaient besoin d’un petit tri…

Je t’ai proposé un câlin avant de nous mettre au travail, tu ne t’es pas fait prier…

Je me suis calée tout contre toi, j’ai baisé ta bouche, déjà ma main jouait avec ta bite tendue, il ne me restait plus qu’a m’insinuer sous tes couilles à la recherche de ton œillet (ce fichu romantisme).

A ma grande surprise tu t’es offert, écartant les cuisses et me laissant jouer délicatement…

J’allais mouiller mon doigt de ma salive quand tu m’as devancée me demandant de te donner mon doigt à sucer… Puis je suis retourné à l’assaut de ton intimité.

Doucement mes doigts t’ont investis, un, puis deux, puis trois, puis le gel aidant un quatrième, ma bouche jouait avec ta queue, tes seins, ma langue caressait ta peau.

Je m’inquiète à chacun de tes soupirs, je ne veux pas te blesser,

Puis prenant (encore une fois l’initiative) tu t’es mis à quatre pattes, allez j’avoue je n’aurais pas osé te demander de t’offrir ainsi…

Mes sens s’affolent, mon cerveau bouillonne, je n’aurais jamais osé même dans mes fantasmes les plus fous te posséder ainsi un jour

Mes doigts ont retrouvé ta chaleur,

Pour te rassurer, à ta question, quand tu m’as demandé combien, j’ai répondu trois… mais j’étais déjà à quatre, et déjà le cinquième s’annonçait…

Doucement tu t’es ouvert, me laissant découvrir la chaleur de ton cul, sa douceur, étroit mais souple sous l’envie…

Quel délice de te sentir serré sur mes doigts,  de te voir doucement t’empaler sur ma main…

Quelle émotion de t’entendre gémir, et de t’envahir toujours plus, attentive à ton plaisir, à ta douleur,

Quel plaisir de conquérir ce cul que tu m’offres ainsi,

Ma main glisse, tourne, ouvre, remplit, petit à petit je gagne du terrain, de ma main libre je t’invite à te cambrer venant à ma rencontre encore plus profondément…

Je fouille, sonde, viole,

J’aimerai être de partout… rester dans ton cul, voir ton regard, promener ma langue sur toi, goûter à tes baisers, j’aimerai avoir mille mains pour te rendre fou sous leurs caresses,

Pourtant je n’honorerai pas ma promesse aujourd’hui… Paris ne s’est pas fait en un jour….

Et puis je vais adorer recommencer encore et encore jusqu’à ce que tu cèdes…

Ta Maîtresse

Cypris

Le 04 Avril 2009