Met toi nu, ouvre la porte, et vient me rejoindre à quatre pattes, yeux baissés dans le
salon,
Je pense qu’il est temps que tu assumes vraiment ce que tu veux être et je vais faire de 2009
l’année de toutes nos perversions…
Je l’attend assise sur le canapé du salon, que j’ai mis en face de la porte pour le voir
arriver, des bougies sont allumées un peu partout et diffuse une douce lumière, sur la table basse j’ai déposé nos jouets, à coté de moi se trouve son collier et ses menottes en
cuir,
Il arrive vers moi, avec la cravache je lui appuie entre les épaules pour qu’il se baisse et
baise mes pieds…
Je le fais mettre à genoux, les mains derrière le dos
Je lui passe son collier et la laisse que j’entoure autour de mon poing pour tirer dessus et
amener son visage près du mien.
Je le regarde dans les yeux et lui dis : tu pensais retrouver Odalisque ta petite soumise
romantique, en larmes de lui avoir trop manqué… et bien tu t’es mis le dois dans l’oeil… aujourd’hui je suis Cypris Maîtresse perverse et les doigts…. mon beau soumis c’est dans le cul que tu vas
les avoir et crois moi tu vas les sentir….
Je me lève me place derrière lui, tire sur la laisse pour lui faire sentir son
appartenance
Je suis lasse et frustrée de te soumettre quand bon te semble, et rien ne me contrarie plus que
tes petits mails à la con me disant « la prochaine fois veux tu être le chef ? »
Moi j’étais ta soumise, et je n’ai rien demandé, c’est toi qui a changer les règles et qui a
voulu être à mes pieds et bien maintenant c’est moi qui déciderait quand tu en seras digne…
Etre domina une heure de temps en temps ne me comble pas, tu veux du partage…
partageons…
Tu as compris ???
Mais… si tu le souhaites, si tu me le demande maintenant on peut reprendre chacun nos rôles
initiaux… C’est ce que tu désires ???
Bien…
Donc mettons les choses au point et mettre quelques règles en place
- tu seras à mes pieds quand moi Cypris je le
déciderai
- si de ton coté tu en émets l’envie, tu m’en feras la demande
par écrit
- après chacune de nos rencontres je veux que tu m’écrives ton
ressenti, ce que tu as aimé, ce que tu as moins aimé, ce que tu aurais souhaité…
- Si je n’ai pas le texte à la prochaine rencontre ou je te
soumets tu seras puni de 10 coups de cravache et crois moi je ne te ménagerai pas
- Tu n’es pas maso, pas de problème, mais la soumission c’est
aussi se dépasser pour l’autre, je l’ai fais pour toi, tu apprendras pour moi
- - C’est moi et uniquement moi qui prépare les plans où tu es
soumis
La seule chose que tu dois te dire c’est que je t’aime plus que tout, et que je suis ici pour
ton plaisir… notre plaisir…
J’ai écris la première partie de ce texte le lendemain de son départ alors que je venais de
recevoir de sa part un texto qui disait : je ne t’oublie pas….
Ben heureusement il y avait à peine 24 heures qu’Il était parti….
Mais voilà au bout de deux semaines sans Lui, et je dois bien l’avouer un gros manque je viens
vous raconter ce qu’il c’est réellement passé…
Met toi nu, ouvre la porte, et vient me rejoindre à quatre pattes, yeux baissés dans le salon,
je suis certaine qu’en bon chien tu sauras trouver ta Maîtresse.
Je pense qu’il est temps que tu assumes vraiment ce que tu veux être et je vais faire de 2009
l’année de toutes nos perversions…
Je l’attends debout au milieu du salon, des bougies sont allumées un peu partout et diffuse une
douce lumière, sur la table basse j’ai déposé nos jouets, à coté de moi se trouve son collier et ses menottes en cuir,
Il arrive vers moi, avec la cravache je lui appuie entre les épaules pour qu’il se baisse et
baise mes pieds…je promène la cravache sur son dos, son cul, tapote doucement…
Je le fais mettre à genoux, les mains derrière le dos
Je lui bande les yeux et lui passe son collier et
sa laisse…
Je me colle à lui et viens lui murmurer à l’oreille : tu pensais retrouver Odalisque ta
petite soumise romantique, en larmes de lui avoir trop manqué… et bien tu t’es trompé, aujourd’hui je suis Cypris Maîtresse perverse et j’ai bien l’intention de profiter de
toi…
Je le fais se relever s’asseoir sur la chaise que j’ai prévu à cet effet je lui passe des bracelets de cuir aux poignets que j’attache à la chaise avec des cordes.
Pour me rassurer je m’assure d’un regard qu’il bande et qu’il a envie de cela autant que
moi…
Je glisse mes mains sur son torse, mes ongles griffent, ma bouche s’approche de son cou, je
souffle sur sa peau, à coups de langue je le lèche, j’ai besoin de le sentir, de le goûter, je mordille, je veux le faire gémir, je pince délicatement ses seins puis plus fort jusqu’à ce qu’Il
gémisse… Je me saisis de deux glaçons et caresse encore et encore chaque centimètre carré de sa peau.
J’allume une bougie et m’applique à faire couler la cire chaude sur son sexe dressé… il gémit…
se tortille…
J’ai une folle envie de Lui….
Je viens me placer devant lui, jambes écartées je me place au dessus de sa bite, mais ne m’y
empale pas encore, en tirant sur sa laisse je lui renverse la tête en arrière, ma bouche effleure sa bouche, ma langue va à la recherche de la sienne….
Mes mains trouvent enfin son sexe, effleurent son gland, glissent le long de la hampe, palpent
les couilles, serrent jusqu’à le faire gémir encore…
Et là je lui dis d’une voix claire…
- Je suis frustrée de te soumettre quand bon te
semble, et rien ne me contrarie plus que tes petits mails à la con me disant « la prochaine fois veux tu être le
chef ? »
Moi j’étais ta soumise, et je n’ai rien demandé, c’est toi qui a changer les règles et qui a
voulu être à mes pieds et bien maintenant c’est moi qui déciderait quand tu en seras digne…
Etre domina une heure de temps en temps ne me comble pas, tu veux du partage…
partageons…
Tu as compris ???
- oui Maîtresse
- Mais, si tu le souhaites, si tu me le demande maintenant on peut reprendre chacun nos rôles
initiaux… Mais c’est maintenant que la décision doit être prise… C’est ce que tu désires ???
- Non Maîtresse, j’accepte vos règles, je prends le risque, je me plierai à vos
envies
- Il n’y a pas de règle entre toi et moi, il n’y a que du plaisir et encore du
plaisir…
Toujours en maintenant ses couilles je continue mon petit discours
- tu seras à mes pieds quand moi Cypris je le
déciderai
- si de ton coté tu en émets l’envie, tu m’en feras la demande
par écrit
- après chacune de nos rencontres je veux que tu m’écrives ton
ressenti, ce que tu as aimé, ce que tu as moins aimé, ce que tu aurais souhaité…
- Si je n’ai pas le texte à la prochaine rencontre ou je te
soumets tu seras puni de 10 coups de cravache et crois moi je ne te ménagerai pas
- - C’est moi et uniquement moi qui prépare les plans où tu es
soumis et qui prend les contacts
Je me saisis d’un lien de cuir et lui lie la queue et les couilles, jamais je ne l’ai vu encore
autant bander que ce matin, son gland est gonflé et luisant, j’ai une folle envie de le prendre en bouche et me fait violence pour résister…
- Je te conseil de continuer à bien bander pour ne
pas que le lien tombe sinon….
Je viens me replacer devant lui, le fais lever après avoir libéré ses poignets, Tirant sur la laisse je le fais s’agenouiller sur un coussin et viens m’asseoir face à Lui, et lui demande de me faire jouir de la manière
suivante :
- maintenant tu vas me montrer quel bon chien tu es et faire jouir ta Maîtresse en la
léchant…
J’ai du mal à me remettre de ce premier orgasme qui me laisse pantelante, il est encore à genoux
devant moi, je l’embrasse, j’ai envie de me blottir dans ses bras mais le jeu doit continuer…
Je l’aide à se relever à le fait mettre à genoux sur le canapé…
- Pour ton retard (il est arrivé à 09h30 au lieu de 08h00) je vais un peu te rougir le
cul
Je me saisis d’un petit martinet en velours noir et comment méthodiquement à lui fouetter le
cul, les flans, les épaules… mais je reste encore soft, je n’ose pas trop, pourtant il me demandera plus tard à être battu plus fort la prochaine
fois pour voir jusqu’où il peut aller….
J’arrête le martinet et mes doigts s’insinuent dans son cul et lui promet qu’avant la fin de
l’année il sera totalement fisté.
Après cette punition, je le fais se rassoire sur
la chaise, viens l’embrasser, ma langue glisse sur son torse, mordille les tétons, fouille son nombril, se perd dans ses entres cuisses toujours en évitant son vit, descend le long de ses jambes
jusqu'à ses pieds, remonte enfin lentement, se promène sur ses couilles, remonte le long de sa tige, joue avec son gland, je crache sur son membre dressé, ma salive dégouline, je le prends enfin
en bouche et le fais glisser au plus profond de ma gorge, j’aspire, pompe, titille, je laisse son désir monter, d’une main je me suis saisis de cette petite roulette que j’ai fabriqué moi-même à
l’aide d’un petit rouleau en mousse et de punaises, et qui prend le même chemin que ma langue…
Je sens son désir à son comble, il gémit, crie… moi je n’en peux plus, j’ai besoin de Lui, je
lui arrache le bandeau qui me masque son regard, je le retrouve enfin, et ce que je lis dans ses yeux à ce moment là vaut bien toutes les déclarations d’amour aussi romantiques soient
elles.
Je me colle contre Lui, Lui dit que je l’aime, Lui avoue combien il m’a manqué, que j’ai besoin
de Lui, de Nous, de tout cela…
Il me dit que je suis superbe, qu’Il a été surpris de trouver ce mot sur la porte, que je dois
avoir plus confiance en moi, qu’il aime que je prenne des risques, il me découvre les cheveux courts, il aime….
Après ce long moment ou les mots nous paraissent bien pauvres, je le fais asseoir sur le canapé
et viens enfin m’empaler sur Lui, non sans oublié de lui dire : Il faut bien que tu me serves d’objet sexuel…. Il rit, j’aime son rire… mais déjà il repris son rôle il redevient mon Maître,
mon Complice, mon Amour…
Cypris
Le 15 Janvier 2008
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