Tu profiteras de moi après avoir reçu le fouet…
En bonne soumise je prépare donc quelques petits jouets un fouet, deux martinets, des bougies… et… des
rasoirs
Non ne vous inquiétez pas nous n’allons pas donner dans l’extrême, mais ce soir j’ai bien l’intention de lui
raser la raie du cul…
En arrivant sur le parking de l’hôtel je le vois qui m’attend au balcon de notre chambre, je lui demande de
mon montrer sa queue, je découvre qu’Il porte le cockring que je lui ai dernièrement offert.
Je le rejoins, Il m’enlace, s’appuie contre le mur, m’embrasse avec une telle sensualité que je sens mon entre
jambe s’humidifier, >>Il m’ôte ma robe, je suis nue contre Lui… j’ouvre sa chemise colle ma bouche contre son torse, j’embrasse, lèche, respire son odeur. Ma main trouve sa ceinture que je
m’empresse de défaire, je fais tomber son pantalon sur ses pieds et prend sa queue à pleine main, je remarque qu’il ne porte pas de caleçon… le lui fait remarquer… « Pour toi » me dit
Il. Je souris intérieurement me disant qu’avec le port du cockring cela fait deux initiatives qu’Il a prises sans que je lui en donne « l’ordre », il va vraiment falloir que je mette
les choses au point…
Après avoir longuement «flirté » et après avoir compris qu’apparemment ce soir je n’aurais pas de fouet
je décide de prendre les choses en main.
Après l’avoir fait mettre à quatre pattes je commence mon rasage.
Je m’applique faisant attention de ne pas le couper, je prends mon temps, faisant glisser le rasoir tout le
long de son cul, jusqu’au dessous de ses couilles, je le veux lisse pour mes caresses et pour ma langue.
Le travail fini je lui demande d’aller prendre une douche et de venir se remettre à quatre
pattes.
Il est maintenant là devant moi, lisse et offert… je fais glisser ma main du bas de son dos à ses couilles que
je palpe fermement, je veux qu’Il sente que lorsqu’Il est dans cette position Il est à moi…
Ma langue a remplacé ma main, je lèche, efflore, je me fais gourmande et de ma langue pointue commence à le
fouiller, Il s’ouvre, s’offre, gémit. Alors que ma bouche s’attarde sur ses couilles un de mes doigts s’insinut puis deux… je suis maintenant à genoux derrière Lui de ma main libre je griffe son
dos, mes doigts continuent leur va et vient.
Autant je suis rassurée à ce moment précis de ne pas croiser son regard, autant j’aimerai y lire des tas de
choses.
Je retire mes doigts, Il se saisit alors de ma main et les porte à sa bouche, encore une initiative qu’Il
prend… surtout que j’y avais pensé et que j’aurais aimé le surprendre.
J’ai envie de cire… lui propose timidement, Il accepte, j’étends alors un drap sur le lit, me saisis d’une
bougie rouge que j’allume fébrilement, la première goutte tombe sur son sexe dressé, Il gémit, je continu, pourtant je vois vite que la douleur semble plus difficile à supporter que ce que je
pensais, ou que ce que je supporte moi-même, à sa demande j’arrête, peut être est Il dans un de ces jours ou l’on ne supporte pas, je connais cela parfois, alors je sais… c’est l’avantage d’être
aussi soumise.
Je m’applique à enlever les petites pellicules de cire qui recouvre sa bite, à la main pas au martinet ne
l’affolons pas… pas encore, sourire.
Je m’empale alors sur sa queue, ses mains sur mes hanches me font aller et venir, c’est à mon tour de
gémir.
Je me rapproche de Lui, je connais sa prochaine envie… être objet sexuel à mes cotés, être offert à une bande
de baiseurs qui profiteront de nous deux, être lope au coté de sa pute…Rendez vous fut pris pour le 1er juillet avec un homme bi disposant de plusieurs copains partants pour ce genre
de plan.
En véritable libertins nous ne voulons nous priver de rien, les envies de l’un deviennent les envies de
l’autre, ses fantasmes nourrissent les miens, aussi quand il m’a dit avoir celui du mari cocu, de vouloir pousser la complicité à son paroxysme, mon sang n’a fait qu’un tour…
L’idée d’être cocu lui plait, grand bien lui fasse il le sera…
J’ai contacté le mec du plan ou nous serons objet sexuel, je lui ai fais par de cette envie de mon Homme, lui
disant « si j’avais les couilles de le faire et de ne pas le perdre je le ferai », il m’a répondu « lance toi, ton mec est très cérébral et il adorera… »
Il m’a alors proposé de le rencontrer lui et deux de ses potes qui seront présent lors du plan du
1er juillet. Il m’a dit « nous te baiserons et ensuite on baisera ton homme, il ne saura pas lequel d’entre nous l’a cocofié »
Maintenant il suffisait de le lui avouer.
C’est ce moment que j’ai choisi, le moment ou Il me prend et ou Il pense qu’Il me possède.
Je m’approche de Lui, l’embrasse et murmure tout contre ses lèvres
- Vous savez que bientôt nous serons tous les deux abusés, Vous en avez envie n’est ce
pas ???
Pas besoin de sa réponse je sens sa queue gonfler en moi et je sais qu’Il en rêve tout comme
moi.
Je lui souris et rajoute :
- Mais avant ce jour je vais vous cocufier, je vais me faire baiser par R. et ses amis, je vais les faire
gicler et jouir d’eux, et vous ne serez pas là pour voir, vous n’aurez droit qu’a mes gémissements au téléphone et aux photos qu’ils feront… Ils auront le droit de me baiser, de me remplir la
bouche et de profiter de mon cul, et vous ne saurez qui m’aura baisée que le jour où nous les rencontrerons tous vous et moi.
Il m’a alors demandé d’arrêter mes mouvement de peur d’exploser trop vite, et j’ai rarement lu dans son regard
ce que j’ai pu lire à ce moment là, de l’étonnement, de la fierté, de l’envie, Il sait que je le fais pour Lui… il à juste dit « oui oui fait
le ». Et je vais le faire, par amour je vais cocufier mon Homme, le paradoxe total, et ensuite nous en jouirons tous les deux…
Cypris Maîtresse amoureuse
Le 08 juin 2008
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