Lundi 8 septembre 1 08 /09 /Sep 22:19

 

 

Moi : 44 ans, rondes (et oui il en faut pour tous les goûts) pétillante, sensuelle, cérébrale, et affreusement amoureuse de Lui.

 

Lui : la belle cinquante, libertin, épicurien, véritable sadien mais en rien sadique.

 

Eux : Couple illégitime, unit dans une passion indicible,

 

Voilà deux ans et demi maintenant que nous nous sommes trouvés, Il est mon âme sœur, celui qui m’a révélée, mon Maître, mon Amour et beaucoup d’autres choses… Il dit que je suis sa muse, sa complice…

 

Pour Lui je peux être salope, putain, chienne et soumise, et depuis peu… Maîtresse.

 

Tout ce que vous découvrirez de Nous sur ce blog est fait avec envie, respect, amour, nos limites sont celles de l’autres ou de ceux qui croisent notre chemin.

 

Nous n’avons pas à proprement parler de « règles » nous nous laissons guider par nos envies, nos humeurs, nos besoins.

 

Ce blog Lui est dédié, vous y découvrirez nos pratiques, nos plaisirs, nos doutes (enfin surtout les miens), nos fous rires.

 

Je demande à ceux qui me liront de ne pas être choqués par mes mots, je peux être aussi romantique que perverse, les mots que j’utilise sont ceux de l’amour, de notre amour.

 

Bien à Vous

 

Cypris Maîtresse amoureuse
Par Cypris Maitresse amoureuse - Publié dans : Par Cypris - Communauté : Soumission et appartenance
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Dimanche 7 septembre 7 07 /09 /Sep 14:32
Une seule photo  

Une seule photo de ta queue contrainte reçue par texto et voilà mon esprit qui vagabonde…
Je t’imagine offert à mes désirs les plus pervers
J’ai envie de ton cul, de te faire mien, de te faire rougir De te prendre, te sentir t’ouvrir sous mes doigts
Je veux t’investir, te baiser, te sentir gémir sous mes caresses osées
Te sentir résister, te forcer, violer ton intimité, découvrir la chaleur de tes entrailles
Ma langue viendra rejoindre mes doigts pour te goûter, te fouiller plus profondément encore,
Ma récompense sera de sentir ta queue tendue
La tienne sera de m’inonder de ton foutre, de me lécher jusqu’à me faire jouir.
Je t’aime pour tout cela
Je t’aime pour ce que tu me fais découvrir
Je t’aime pour ta façon de t’offrir à moi
Je t’aime pour tes fantasmes
Je ne veux rien que tu me caches, je veux tout oser avec toi,
Je veux le pire du pire et le transformer en ce qu’il y a de meilleur
Je veux des découvertes, des loupés, des fous rires,
Je veux des regards, des baisers, des caresses,
Je te veux entièrement, totalement à moi  

Cypris
Par Cypris Maitresse amoureuse - Publié dans : Par Cypris - Communauté : Histoire érotique
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Dimanche 7 septembre 7 07 /09 /Sep 14:30

Vous… Tu…

 

Troublant paradoxe

Vous êtes Mon Maître mais c’est en soumis que je te rêve

Vous qui savez si bien me torturer et pourtant ce sont tes gémissements que je veux

Je suis à vos pieds, et j’adore que tu baises les miens

Devant vous je baisse les yeux, je bande les tiens pour éviter ton regard

Vous qui savez si bien m’enchaîner, je souhaite plus que tout te lier à moi

La cravache est votre sceptre, l’humiliation sera ton calvaire

Vous aimez mes larmes, je vais adorer tes plaintes

Je vous vénère, tu vas m’idolâtrer

Je suis la soumise de votre vie, je vais faire de toi mon soumis unique et adoré

Vous m’aimez chienne, tu seras jouet

Vous avez su m’éduquer, je te dresserai

J’aime Vous combler, tu me supplieras d’être à mes pieds

Je suis à Vous, et plus que tout je te veux à moi

 

Cypris Maîtresse amoureuse

Le 11 août 2008

Par Cypris Maitresse amoureuse - Publié dans : Par Cypris - Communauté : Histoire érotique
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Dimanche 7 septembre 7 07 /09 /Sep 14:27

Je savais que tu ne tarderais plus. Nu, je me mis en position, comme tu me l’as demandé, à quatre pattes, cul rehaussé et ouvert.

 

Il y avait quelque chose de plaisant à me retrouver ainsi dans la position que j’aimais tant te faire prendre. Mais je savais aussi que ce moment serait important, pour toi, pour nous.

 

Switcher n’est pas évident si l’on ne se place que dans le cadre d’une relation BDSM « vraie », sourire.

 

Mais tu sais que je suis d’abord un libertin, un sadien au sens philosophique et non un sadique.

 

Tout est permis, tout est possible.

 

Et tu l’as fait !

 

Comment traduire l’émotion qui m’a envahit dès que la porte s’est refermée. Mon corps est tendu, j’offre mon cul au mieux que je le puisse. Je veux qu’il te dise que je suis à toi comme je te l’ai promis, totalement à toi, totalement dans le jeu.

 

Quel bonheur de sentir ton pied sous mon visage. Tu as osé ! Tu es superbe. Je sais dès lors que rien ne t’arrêtera et que tu seras sublime dans ce jeu, dans ce rôle dans cette situation nouvelle  que seuls nous pouvons comprendre.

 

Je bande. Le désir m’envahit. Je t’entends fouiller, préparer. Je t’imagine réfléchir, doser, peser telle ou telle façon de faire.

 

Les yeux bandés accentuent les sensations. Tu as bien fait de le faire. Je te sens, je te devine, je t’attends.

 

Puis viendront les pinces sur les seins. Ce n’est pas facile de les faire tenir et pourtant j’en meure d’envie. Les poids me procurent des sensations délicieuses. Puis les couilles, des pinces. Divin !

 

Je savais que la cire serait au rendez vous. Tu aimes tant cela. Brûlure et plaisir se mêlent. Je tends mon corps. J’en redemande. Sur les couilles. Envie de les avoir couvertes comme ma bite tendue. Je bande encore. Enfin les martinets. J’attendais leurs délicates morsures. Je les attends, partout, sur le dos, le cul, la queue, les couilles…

 

Tes mains, tes caresses, tes baisers, ponctuent ces moments délicieux et accroissent la tension.

 

Tu es superbe. Je suis fier de toi. Je suis comblé de ce partage, de cette folie.

 

Tu me suces. Tu me tutoies bien sur même pour me crier ton amour. Tu veux que je te baise mais je ne veux pas cracher dans ton con.

 

Tu as voulu que, pour t’appeler « Maîtresse », je jouisse sur tes escarpins puis que j’y lèche mon foutre jusqu’à la dernière goutte…je ne pouvais pas ne pas le faire.

 

T’appeler « Maîtresse » c’était te dire merci, de te dire combien tu es belle, combien je me retrouve dans ces jeux avec toi, combien tu m’es essentielle pour cela.

 

Il y a un moment que je savais que le « cul » sans toi n’aurait plus beaucoup de sens. Ce moment n’a pu que le confirmer.

 

Seuls nos imaginations, nos désirs, nos plaisirs nous guident.

 

Je ne sais pas quand cela s’est passé, mais notre complicité a dépassé ce que je pouvais imaginer. Je n’ai jamais connu une telle osmose dans ces jeux.

 

Cette passion qui nous unit a quelque chose d’indicible, quelque chose que nul ne peut comprendre, quelque chose qui ne peut que nous appartenir à tous les deux, à jamais.

 

Tout toi, oh ! Pardon, Maîtresse, à Vous !

 

Soumis ex aequo

Par Cypris Maitresse amoureuse - Publié dans : Par Lui - Communauté : Dominatrice avec son mari soum
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Dimanche 7 septembre 7 07 /09 /Sep 14:25

En début d’après midi je reçois un texto : je t’appelle quand je pars… rendez vous à priori à 16h30.

 

Auquel je réponds : j’y serais, attendez moi sur le lit nu à quatre pattes

 

Second texto de sa part : OK

 

Auquel je réponds de nouveau : il me semble que ce n’est pas le genre de texto que l’on envoie lorsque l’on reçoit ce genre de demande, il va falloir que nous fixions quelques règles vous et moi.

 

Les dés sont lancés, aujourd’hui je serais  Domina, il sera le jouet de mes supplices.

 

J’ai vernis mes ongles de rouge, je porte une mini robe noire et des sandalettes à très hauts talons rouges…après la douche j’ai passé sur ma peau un lait corporel scintillant qui est du plus bel effet sur mon bronzage. Un coup de crayon, un peu de récil, un peu de gloss, du parfum… me voilà prête.

Dans mon sac j’ai glissé, un bandeau, deux martinets, un plug, des rasoirs, du gel, des pinces et des poids, des bougies un briquet, dans une glacière j’ai glissé des glaçons et de quoi nous rafraîchir.

 

En arrivant sur le parking du péage je renvoie un texto : quand tu es prêt envoie moi un texto…

 

J’ai le ventre qui gargouille, j’ai la gorge serrée, les mains moites, je n’ai pas l’intention de lui faire une véritable « séance » juste un avant goût de ce qui l’attend…. Pourtant je ne peux m’empêcher de me mettre une pression folle.

Je n’ai pas le droit de le décevoir, de me tromper, et lui n’a pas le droit de pouffer à chacune de mes paroles comme il le fait si souvent quand je « joue » à la domina. Cette fois je serais intraitable s’il pouffe… il dérouille… En fait je voudrais qu’il joue le jeu… qu’il se donne… qu’il jouisse de ce moment…et par-dessus tout qu’il ne simule pas…

 

En arrivant près de l’hôtel nouveau texto : quand tu es près envoie moi le numéro de la chambre et l’étage et laisse la porte entrouverte. Première fois que je le tutoie et j’ai l’impression de blasphémer, ce n’est pas gagné pour la suite…

Sa réponse : chambre 1 rez de chaussé

 

Il a laissé la porte entrouverte… J’entre… Il est là dans la position demandée… offert…

Il est beau  et je sens l’amour me submerger…

 

- Bonjour toi, je ne lui ai pas encore trouvé de nom de soumis

- Bonjour

 

Je lui donne mon pied à baiser… Persuadée que le premier clash viendrait à ce moment, qu’il refuserait  et contre toute attente il le baise, le lèche, le caresse, un fol érotisme se dégage déjà entre nous deux, je sens l’émotion me gagner, je l’imaginais soumis rebelle, je le découvre roi abdiquant, mes ongles caressent son dos faisant naître sur sa peau des frissons.

 

 

 

Vite lui bander les yeux… si je croise son regard je serais incapable d’aller plus loin…

 

Je me saisis de pinces, le fait mettre à genoux les mains dans le dos, et orne ses seins, j’y ajoute des poids, j’en profite pour lui lécher les lèvres à grands coups de langue, deux ans de chiennitude ne s’oublie pas si facilement,  je le refais mettre à quatre pattes et c’est ses couilles que je pare…

 

Déjà je m’inquiète pour lui, je m’approche et lui murmure

- Ca va ???

- Oui Maîtresse

- Pardon ??? Qui t’a donné le droit de m’appeler Maîtresse ??? Pour toi je ne suis que Cypris, tu m’appelleras Maîtresse le jour où tu seras capable de lécher ton foutre sur mes pompes…

Depuis ce matin je répétais cette phrase dans ma tête depuis ce matin et je me demandais si j’arriverais à la lui dire sans bafouiller.

- Tu as compris ???

- Oui Cypris…

- Tu sais combien je t’aime, et bien c’est tout cet amour que j’ai pour toi que je vais transformer en perversité… pour notre plaisir à tout les deux, tu vas m’être soumis comme tu ne l’as encore jamais été…je vais faire de toi une lope, un jouet, un chien, c’est bien ce que tu souhaites ???

- Oui je le ferai pour vous

- C’est pour nous que tu le feras et tu en redemanderas…mais c’est que je deviens presque douée sourire

 

Je viens alors me placer derrière lui, et commence à lui raser la raie du cul délicatement, puis une fois le travail terminé, alors qu’il est bien lisse, je lui crache sur le cul, j’ai en douce enduis deux de mes doigts de gel, et brutalement je le pénètre…

- Et bien, si tu veux un jour te faire enculer comme une lope il va falloir te travailler le cul… celle-ci je ne l’avais pas répétée elle est venu toute seule, mais heureusement qu’il ne me voit pas je dois être rouge de honte, je m’étonne même…

Je le fouille, une fois bien dilaté je lui mets un plug, ma main caresse, branle, il bande « plutôt » bien, et cela me rassure.

 

Mais mains ne peuvent s’empêcher de le caresser, j’ai envie de lui dire que je le trouve beau, je suis émue de son abandon, jamais il ne m’avait encore autant donné, et Dieu que j’aime le voir ainsi offert à ma merci, mais je ne trouve pas encore les mots,

 

D’une main je me saisis de la bougie que j’ai allumée en arrivant, de l’autre je prends les glaçons. C’est le froid qu’il sentira en premier, je m’applique à faire couler de fines gouttelettes glacées sur ses épaules, son dos, la raie de son cul, puis c’est au tour des gouttelettes de cire de glisser sur sa peau, il gémit… j’ai un moment de panique je ne sais si c’est de plaisir ou de douleur, dois-je arrêter ??? Que ferait il à ma place ??? Il n’arrêterait sûrement pas… Je continue donc...

Je m’applique à faire tomber la cire de haut pour ne pas trop le brûler, ses contorsions lui font expulser le plug. La cire coule… s’insinue… je me saisis de ses couilles et laisse couler le liquide brûlant, ses geignements ne font qu’attiser mon excitation, et là je fais une chose qu’une domina ne fait en principe pas… je me penche sur lui et me mets à le lécher frénétiquement, après tout j’ai bien le droit de me régaler de mon soumis.

J’alterne glace et cire, me jouant de lui délicieusement.

- c’est bien ce que tu aimes le sucré et le salé, le bien et le mal, le chaud et le froid non ?

- oui Cypris me souffle t’il entre deux soupirs

 

Il est temps de changer de jeu, je me saisis d’un martinet de cuir lourd et commence à lui caresser le dos, les fesses, les couilles, le premier coup s’abat, léger, les suivants vont croissants sans être vraiment douloureux, juste une légère morsure, puis un coup violent s’abat, il crie, surpris

- Celui là c’est pour le « O » de ok

Un autre coup tombe plus fort encore

- et celui-ci c’est pour le « k » de ok

 

M’approchant de lui je viens lui murmurer à l’oreille

- et maintenant ne t’amuse plus jamais à me répondre « ok »

- Oui Cypris murmure t-il

Je suis affolée par ce qu’il me fait ressentir de se donner ainsi à moi, moi qui craignais ses réactions, ses éventuels moqueries, je le découvre merveilleusement dévoué à mes envies.

 

Je lui demande de s’allonger sur le dos, j’ôte à sa demande les pinces de ses seins devenus douloureux, j’en profite pour mordiller ses tétons rougis et sensibles…

Ma bouche trouve la sienne, ma langue effleure ses lèvres, il répond à mon baiser, ne devrais je pas le punir pour cela ??? Sourire

Les glaçons reprennent leur valse sur sa peau, la cire vient maintenant à la rencontre de sa queue tendue

- s’il vous plait, mettez moi de la cire sur les couilles

Tien donc un soumis qui réclame, cela tombe plutôt bien j’ai en main une grosse bougie ronde, et d’un coup je vide le liquide fondu…

Il pousse un cri de surprise ne s’attendant sûrement pas à une telle quantité

- tait toi, tu réclames alors tu assumes, ou tu ne demandes plus rien, ouf celle-ci aussi je m’étonne de la prononcer, je commence vraiment à me prendre au jeu.

Je prends maintenant sa queue dans ma bouche tout en continuant à faire couler la cire et ses gémissement m’invitent à continuer… il bande divinement et pas envie de me priver de ma gâterie préférée…

 

Cette fois c’est d’un martinet en crin dont je me saisis, je caresse maintenant son torse, son sexe, ses cuisses, je m’amuse à le faire tourner vite afin que les pointes du crin frôlent sa peau, sa bite. De douces plaintes fusent de ses lèvres attisant encore mon émoi et ma faim de lui.

 

J’ai une folle envie de lui, je le fais se relever, m’installe semi assise sur le lit et lui demande de me lécher et de s’applique, j’ai saisis une cravache afin de lui faire sentir le poids de ma demande bien que je sache que cela est inutile… il me léchera longuement, divinement, me voilà Maîtresse dégoulinante sous la langue de son chien soumis il me fera jouir ainsi s’abreuvant de mon plaisir…

 

Je ne suis plus domina mais une simple femme désirante… une folle envie de me remplir de lui, je l’attire à moi, lui ôte son bandeau, envie de me perdre dans ses yeux,

- je t’aime, je t’aime, je t’aime, je ne peux plus m’empêcher de le lui dire encore et encore comme si le répéter ôtait la fadeur de mon aveu.

Baise moi… De sa queue il me possède furieusement, c’est à moi de gémir de plaisir, dans la folie du moment il laissera échapper un « tu » que je ne relèverai pas, mais c’est sans compter sur sa motivation à me satisfaire…

- Je vous ai tutoyé, punissez moi, punissez moi

Comment résister à une telle demande ??? La surprise passée je me saisis d’un martinet posé à mes cotés et fouette son dos et son cul, et à chaque coup je l’entends me remercier.

- rempli moi de ton foutre…

Et là soudain, alors que je ne suis plus du tout dans mon rôle de Domina, je l’entends me dire

- Laissez moi jouir sur vos pieds, et de pouvoir ainsi vous appeler Maîtresse…

A ces mots des milliers de petites pointes transpercent dans mon ventre, des frissons courent sur ma peau, de ma bouche sèche j’arrive à murmurer…

- je t’y autorise, branle toi, et gicle sur mes pieds

Il se met à genoux sur le lit, et commence sans lever le regard à se branler doucement sur mes pompes, de mes pieds j’enserre son vit tendu, mes talons écrasent ses couilles, il me saisit un pied le porte à sa bouche et lèchera méticuleusement ma chaussure, la semelle, le talon aiguille…

Il n’est plus beau, il est magnifique dans cette soumission qu’il m’offre, me laissant entrevoir les possibilités à venir… Je le rêve esclave… de folles images traversent mon esprit, déjà mon cerveau élabore les scénarios les plus coupables.

Il finira par gicler sur mes pieds, puis, lapera soigneusement comme un bon chien son jus avant de venir, à ma demande, m’embrasser…

L’intensité du moment me fera oublier de lui demander de me dire « Maîtresse », je crevais trop d’envie qu’il reprenne son rôle de mâle, envie de me retrouver dans ses bras, et surtout de ne pas parler de ce qui venait de se passer, ne pas le regarder, faire comme si tout cela n’avait exister que dans nos rêves les plus fous…

La gène, la crainte, les doutes m’ont de nouveau envahie, pourtant il avait joui de ce moment, et plutôt bien joui, et moi j’y ai pris un plaisir fou, intense, pervers.

 

J’ai cette impression de me remplir à nouveau de lui, de me saouler d’un plaisir inconnu, d’avoir découvert une autre partie de moi, jamais un homme ne m’a inspiré autant de folie, de vice, de dépravation et…. D’amour,  parce que je sais aujourd’hui qu’on ne peut dominer sans éprouver un véritable amour pour celui qui est à vos pieds, bien sûr un amour atypique et indicible mais au combien plus profond, plus riche, plus fort aussi. 

 

Cet après midi j’ai découvert le véritable sens du mot passion, 

 

Mais attention mon beau soumis, tu as ouvert aujourd’hui la boite de Pandore… n’oublie jamais que c’est toi et toi seul qui à voulu changer les règles de nos jeux, pour toi je me ferais Maîtresse amorale et impudique, je serais pour toi l’amoureuse débauchée, la complice salace, la femme sadique, la muse diabolique, la femelle perverse, je vais me nourrir de ton abandon, investir ton âme et ton cœur, et ton corps sera le terrain de mes jeux les plus obscènes.

 

Tu feras de moi ta reine et tu porteras mon collier en signe d’allégeance…

 

A toi mon amour

 

Cypris Maîtresse amoureuse

Le 31 Juillet 2008  

Par Cypris Maitresse amoureuse - Publié dans : Par Cypris - Communauté : Soumis & Soumises
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  • Cypris Maitresse amoureuse
  • Le blog de Cypris Maitresse amoureuse
  • Femme
  • 25/02/1964
  • Femme avant tout, soumise à un homme merveilleux et devenue Domina par amour et par jeux...

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