Par Lui

Lundi 2 août 1 02 /08 /Août 18:27

Joyeux anniversaire…

Une surprise était prévue. Je le savais mais j’étais loin de deviner ce qui m’attendait !

Retardé sur la route, j’arrivais avec un peu de retard. Sans ménagement elle m’ordonna de me doucher, puis me rasa la raie du cul avant de me placer à quatre pattes, nu, sur le lit, les yeux bandés.

Le son de ses talons m’indiqua qu’elle redescendait. J’imaginais bien qu’elle allait chercher quelqu’un, un complice plutôt. Elle m’avait parlé d’inviter un homme dominateur, bi.

Pourtant, c’est de nombreux bruits que j’entendis lorsque qu’elle remonta. Mon cerveau était en ébullition…qu’avait-elle imaginé ?

Pas un mot ne me parvenait. C’est elle qui brisa le silence : « messieurs, vous pouvez y aller ! ». Messieurs…ils étaient donc plusieurs, mais combien…Des vêtements prestement jetés m’indiquèrent qu’ils se déshabillaient. Je bandais. Je savais qu’ils étaient là pour moi. C’était cela mon cadeau d’anniversaire.

Une queue s’approcha très vite de ma bouche interrompant mes pensées et autres supputation. Sans hésiter je la happa et la suça avec grand plaisir. Au fur et à mesure, je sentis des présences, des jambes me frôlèrent. L’odeur des corps nus me parvenait. Une autre queue força ma bouche. Des mains me caressèrent. L’un d’entre eux m’ouvra le cul pour le fouiller avec ses doigts comme pour en éprouver la docilité.

Très vite ils eurent compris que j’étais là comme une pute, leur pute à disposition. J’entendais leurs commentaires. Oui ma Maîtresse ne leur avait pas menti. Elle leur offrait une petite salope mâle.

Enfin une bite s’approcha de mon cul. Je fus enculé sans ménagement. Ce n’était qu’un début. Ma bouche ne fut quasiment jamais inoccupée. Parfois deux bites s’y présentaient. Mon cul fut fouillé. Des photos étaient prises, une caméra fixait ces instants.

A un moment je fus allongé sur le dos. L’homme me releva les cuisses et m’encula comme on baise une femme. Dans le même temps ma bouche ne tardait pas à connaître le goût du foutre d’un autre des participants. J’en connu d’autres encore.

Au fur et à mesure je me rendis compte qu’ils étaient cinq.

Je perdis la notion du temps. Ils partirent alors que j’avais encore les yeux bandés. Mon premier gang bang !

Merci à vous ma Maîtresse. Ma bouche, mon corps, mon cul furent comblés. Si ce fut une première je sais qu’à nouveau je serai une salope à hommes, une pute à disposition.

Je baise respectueusement vos pieds.

Avril 2010
Byron

Par Cypris Maitresse amoureuse - Publié dans : Par Lui - Communauté : SM: Domination/Soumission
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Lundi 2 août 1 02 /08 /Août 18:20

Me voici nu. Assis sur cette chaise, les mains dans le dos. Je ne porte qu’un collier, un bandeau sur les yeux et cette cage de chasteté que j’ai eu l’impudence d’acheter moi-même. Je me tortille un peu. Par deux fois je serai giflé pour m’apprendre à obéir.

Ma Maîtresse, Cypris, me dit qu’elle va recevoir un amant, un amant qui va la baiser, un amant qu’elle connait bien et qui va la remplir en la prenant sans préservatif. Ensuite, mais ensuite seulement je serai invité à les rejoindre pour les nettoyer avec ma bouche.

Il arrive. Elle me présente. Il rigole en voyant ma queue entravée dans sa cage. « Avec ca, il n’ira pas loin », dit-il. Cela fait rire ma Maîtresse. Elle lui dit « voilà ce que j’ai fait du prétendu maître, maîtraillon plutôt….

Sans plus attendre, ils passent dans la pièce à coté. Celle-ci est dans la pénombre. Cypris ôte mon bandeau. La porte est entrouverte. Un miroir en occupe une grande partie. Je devine plus que je ne vois.

Elle s’assoit. Je vois qu’elle porte une combinaison en résille qui laisse ses seins nus ainsi qu’un libre accès à sa chatte et à son cul. L’homme s’approche, debout devant elle. Cypris dégage sa queue. « Tu bandes bien » dit-elle. Je me penche pour mieux entrevoir. En fait je devine plutôt. Elle embouche cette bite tendue avec gourmandise. Je l’imagine, je la sens. Elle le flatte. Elle me fait bien sentir le désir, le plaisir. Elle se donne totalement.

Bien qu’entravée dans sa cage noire, ma queue se raidit. Mon excitation est totale. Elle s’offre à cet amant comme elle s’offrait à moi.

L’homme se déshabille et l’allonge doucement sur le dos. Il l’embrasse. Ils s’embrassent à pleine bouche. Je perçois l’ombre des corps mouvants. L’homme caresse doucement son visage, lèche ses seins, son ventre. Puis sa bouche aborde sa chatte. Je ne vois pas vraiment mais aux soupirs de Cypris je sais que son amant commence à la lécher comme elle aime. Il me semble que ses mains couvrent les cheveux de l’homme, doucement, comme pour l’encourager.

Ma queue va exploser ! Plaisir, désir, frustration, émotion se bousculent dans ma tête. Je ne regarde plus vraiment. J’écoute. Les bruits d’une langue sur la peau. Les gémissements. Le frottement des corps sur les draps. Le jeu se déploie. Mon oreille me permet de suivre pas à pas la lente montée du plaisir de ma Maîtresse. Je sais qu’elle déguste ces moments, qu’elle les fait durer autant pour elle que pour moi. Elle encourage l’amant. Ses mots me sont aussi destinés.

Puis tout s’accélère. Bien qu’assis dans la pièce à coté, j’ai l’impression d’être tout près. A quelques centimètres. Je sais qu’elle va jouir. Je l'entends. C’est une explosion. Un autre que moi lui donne un plaisir dont je devine la force, l’ampleur. J’ai l’impression qu’un simple frôlement sur ma queue me ferait jouir aussi. Mais il n’en est pas question bien sur.

Je réalise à peine que déjà son amant l’a retournée. La voilà à quatre pattes, cul offert, ce cul magnifique vers lequel il tend sa bite. Elle le guide, l’aide à s’enfoncer. Elle s’empale sur cette queue. Elle l’encourage, lui dit combien elle aime être enculée. Très vite il la prend sans ménagement.

Mais Cypris ne veut pas en rester là. Elle souhaite que son amant fougueux lui remplisse le con de son foutre. Allongée à nouveau sur le dos, l’homme la recouvre et s’enfonce. Terriblement excité, il ne tardera pas à jouir à son tour crachant, du moins je l’imagine au son de ses cris, à longs jets.

Cypris se dégage et me rejoins. Elle prend ma main, me fait lever en me guidant vers la chambre, les yeux toujours bandés. A genoux devant le lit elle conduit sans ménagement mes lèvres vers la queue de son amant et m’ordonne de le nettoyer. Je l’embouche et le lèche de ma langue. Le goût du foutre me comble. Mais le meilleur reste à venir. Très vite ma Maîtresse me prend le visage pour le coller à sa chatte dégoulinante. C’est divin. Son jus se mêle à celui de cet homme que je n’ai pas vu, dont je ne connais que la bite. Sa jouissance fut abondante, je ne m’étais pas trompé. Alors goulument je lèche, j’aspire, je veux tout, tout partager, je veux m’infiltrer au plus profond de leur ébats, de leur intimité. Mes lèvres et ma langue rivalisent pour aller au plus profond de son con béant et gluant.

J’aurai voulu que cela dure mais Cypris mis fin à ma dégustation. Elle me laissa agenouillé au pied du lit, au pied du lit où elle s’était fait léchée, enculée, baisée, le lit où, avec cet autre, elle avait pris son plaisir. Dans sa cage ma queue était toujours tendue à exploser.


Byron, soumis comblé de Maîtresse Cypris.


 
Par Cypris Maitresse amoureuse - Publié dans : Par Lui - Communauté : La d/s dans tous ses états
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Dimanche 18 janvier 7 18 /01 /Jan 20:42

La surprise du Chef

 

J’étais à mille lieues d’imaginer. Inconcevable ! Et pourtant ! le mot sur la porte était clair, sans ambiguïté : « mets toi nu et rejoins moi à quatre patte au salon en baissant les yeux ». je n’ai pas réfléchi. Pas une seconde l’idée de ne pas obéir ne m’a traversé l’esprit.

 

Je bandais quasi instantanément. Ma tête était en ébullition, et je me déshabillai en hâte. A poil, j’ouvrais la porte et me dirigeait vers elle. Je ne relevais la tête qu’un bref instant pour la situer. Comme elle était belle et divine dans sa résille noire, campée sur ses escarpins rouges, jambes écartées.

 

« Baise mes pompes » ordonna t-elle ! Quel délice, quel plaisir de m’exécuter, d’éprouver son pouvoir et ma docilité. Puis mes yeux furent recouverts d’un bandeau noir. Les sensations s’exacerbèrent alors.

 

Jamais elle ne m’aura dominé ainsi. Alternant le chaud et le froid, le tendre et le cinglant de telle façon qu’à plusieurs reprise elle me fit chavirer de délices.

 

Les glaçons laissèrent la place à la cire de bougie, les baisers en disputaient aux douces morsures. Régulièrement elle me pinçait et tordait mes tétons. Le martinet cingla mon dos et mes fesses.

 

Ma superbe Maîtresse, j’aurai pu en supporter plus. Vous voulez que je me dépasse, j’en ai sincèrement envie même si je suis plutôt un soumis « douillet » !

 

En me plantant un doigt dans le cul, Elle me promit d’arriver bientôt à me fister. Elle sait combien ce cul désire être envahit, pénétré, forcé.

 

Lorsqu’elle décida de lier mes couilles et ma queue, celle-ci durci encore et encore. L’entrave était serrée, très serrée même mais quel bonheur de me sentir ainsi à Elle, totalement.

 

Moi à genoux, Elle assise cuisses ouvertes sur le canapé, elle tira sur ma laisse pour m’amener à la lécher : « fait moi jouir, dit-Elle, et surtout ne débande pas, sinon… tu dérouilles ! ».

 

Longuement je me suis égaré dans ses lèvres, aspirant sa mouille, m’attardant sur son clito, l’aspirant et le mordillant tour à tour jusqu’à ce qu’elle prenne son plaisir, longuement, intensément, paresseusement.

 

Ce n’est qu’ensuite qu’elle libéra mes yeux qui avaient tant à lui dire. Regards de reconnaissance de me permettre d’éprouver ces émotions, de plaisir intense, d’amour et de passion.

 

Merci pour ces moments magiques, pour cette complicité inouïe, exceptionnelle. Je sais que tu sauras encore me surprendre comme je te surprendrai. Ce moment fut magique.

 

Votre soumis comblé.

 

Le 18 janvier 2009

 

Par Cypris Maitresse amoureuse - Publié dans : Par Lui - Communauté : Soumission et appartenance
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Dimanche 7 septembre 7 07 /09 /Sep 14:27

Je savais que tu ne tarderais plus. Nu, je me mis en position, comme tu me l’as demandé, à quatre pattes, cul rehaussé et ouvert.

 

Il y avait quelque chose de plaisant à me retrouver ainsi dans la position que j’aimais tant te faire prendre. Mais je savais aussi que ce moment serait important, pour toi, pour nous.

 

Switcher n’est pas évident si l’on ne se place que dans le cadre d’une relation BDSM « vraie », sourire.

 

Mais tu sais que je suis d’abord un libertin, un sadien au sens philosophique et non un sadique.

 

Tout est permis, tout est possible.

 

Et tu l’as fait !

 

Comment traduire l’émotion qui m’a envahit dès que la porte s’est refermée. Mon corps est tendu, j’offre mon cul au mieux que je le puisse. Je veux qu’il te dise que je suis à toi comme je te l’ai promis, totalement à toi, totalement dans le jeu.

 

Quel bonheur de sentir ton pied sous mon visage. Tu as osé ! Tu es superbe. Je sais dès lors que rien ne t’arrêtera et que tu seras sublime dans ce jeu, dans ce rôle dans cette situation nouvelle  que seuls nous pouvons comprendre.

 

Je bande. Le désir m’envahit. Je t’entends fouiller, préparer. Je t’imagine réfléchir, doser, peser telle ou telle façon de faire.

 

Les yeux bandés accentuent les sensations. Tu as bien fait de le faire. Je te sens, je te devine, je t’attends.

 

Puis viendront les pinces sur les seins. Ce n’est pas facile de les faire tenir et pourtant j’en meure d’envie. Les poids me procurent des sensations délicieuses. Puis les couilles, des pinces. Divin !

 

Je savais que la cire serait au rendez vous. Tu aimes tant cela. Brûlure et plaisir se mêlent. Je tends mon corps. J’en redemande. Sur les couilles. Envie de les avoir couvertes comme ma bite tendue. Je bande encore. Enfin les martinets. J’attendais leurs délicates morsures. Je les attends, partout, sur le dos, le cul, la queue, les couilles…

 

Tes mains, tes caresses, tes baisers, ponctuent ces moments délicieux et accroissent la tension.

 

Tu es superbe. Je suis fier de toi. Je suis comblé de ce partage, de cette folie.

 

Tu me suces. Tu me tutoies bien sur même pour me crier ton amour. Tu veux que je te baise mais je ne veux pas cracher dans ton con.

 

Tu as voulu que, pour t’appeler « Maîtresse », je jouisse sur tes escarpins puis que j’y lèche mon foutre jusqu’à la dernière goutte…je ne pouvais pas ne pas le faire.

 

T’appeler « Maîtresse » c’était te dire merci, de te dire combien tu es belle, combien je me retrouve dans ces jeux avec toi, combien tu m’es essentielle pour cela.

 

Il y a un moment que je savais que le « cul » sans toi n’aurait plus beaucoup de sens. Ce moment n’a pu que le confirmer.

 

Seuls nos imaginations, nos désirs, nos plaisirs nous guident.

 

Je ne sais pas quand cela s’est passé, mais notre complicité a dépassé ce que je pouvais imaginer. Je n’ai jamais connu une telle osmose dans ces jeux.

 

Cette passion qui nous unit a quelque chose d’indicible, quelque chose que nul ne peut comprendre, quelque chose qui ne peut que nous appartenir à tous les deux, à jamais.

 

Tout toi, oh ! Pardon, Maîtresse, à Vous !

 

Soumis ex aequo

Par Cypris Maitresse amoureuse - Publié dans : Par Lui - Communauté : Dominatrice avec son mari soum
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  • Cypris Maitresse amoureuse
  • Le blog de Cypris Maitresse amoureuse
  • Femme
  • 25/02/1964
  • Femme avant tout, soumise à un homme merveilleux et devenue Domina par amour et par jeux...

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