Une promesse est une promesse

Lors de nos retrouvailles  début janvier je t’ai fais une promesse, celle de te fister…

Toi qui me reproches d’être affreusement romantique voilà qui devrait casser mon image,

Si investir ton cul me motive grandement, j’avoue que je ne sais jamais si l’instant est bien choisi, tu restes le Maître, et je ne sais jamais ou vont tes envies…

Aujourd’hui pourtant j’avais décidé de m’occuper de toi, la seule chose à faire… te laisse croire que cela venait de toi, puisque que tu es le « chef ».

Après un café, nous sommes montés dans ma chambre, nous avions du rangement à faire, nos jouets avaient besoin d’un petit tri…

Je t’ai proposé un câlin avant de nous mettre au travail, tu ne t’es pas fait prier…

Je me suis calée tout contre toi, j’ai baisé ta bouche, déjà ma main jouait avec ta bite tendue, il ne me restait plus qu’a m’insinuer sous tes couilles à la recherche de ton œillet (ce fichu romantisme).

A ma grande surprise tu t’es offert, écartant les cuisses et me laissant jouer délicatement…

J’allais mouiller mon doigt de ma salive quand tu m’as devancée me demandant de te donner mon doigt à sucer… Puis je suis retourné à l’assaut de ton intimité.

Doucement mes doigts t’ont investis, un, puis deux, puis trois, puis le gel aidant un quatrième, ma bouche jouait avec ta queue, tes seins, ma langue caressait ta peau.

Je m’inquiète à chacun de tes soupirs, je ne veux pas te blesser,

Puis prenant (encore une fois l’initiative) tu t’es mis à quatre pattes, allez j’avoue je n’aurais pas osé te demander de t’offrir ainsi…

Mes sens s’affolent, mon cerveau bouillonne, je n’aurais jamais osé même dans mes fantasmes les plus fous te posséder ainsi un jour

Mes doigts ont retrouvé ta chaleur,

Pour te rassurer, à ta question, quand tu m’as demandé combien, j’ai répondu trois… mais j’étais déjà à quatre, et déjà le cinquième s’annonçait…

Doucement tu t’es ouvert, me laissant découvrir la chaleur de ton cul, sa douceur, étroit mais souple sous l’envie…

Quel délice de te sentir serré sur mes doigts,  de te voir doucement t’empaler sur ma main…

Quelle émotion de t’entendre gémir, et de t’envahir toujours plus, attentive à ton plaisir, à ta douleur,

Quel plaisir de conquérir ce cul que tu m’offres ainsi,

Ma main glisse, tourne, ouvre, remplit, petit à petit je gagne du terrain, de ma main libre je t’invite à te cambrer venant à ma rencontre encore plus profondément…

Je fouille, sonde, viole,

J’aimerai être de partout… rester dans ton cul, voir ton regard, promener ma langue sur toi, goûter à tes baisers, j’aimerai avoir mille mains pour te rendre fou sous leurs caresses,

Pourtant je n’honorerai pas ma promesse aujourd’hui… Paris ne s’est pas fait en un jour….

Et puis je vais adorer recommencer encore et encore jusqu’à ce que tu cèdes…

Ta Maîtresse

Cypris

Le 04 Avril 2009