Le blog de Cypris Maitresse amoureuse
Candaulisme (suite par Elle)
Un soumis ne baise pas sa Maîtresse, c'est avec ce rire que j'aime tant que tu as osé me lancer cela, mais c'est bien mal me connaître car à peine ta phrase terminée que déjà mon cerveau bouillonnait d'un nouveau plan...
Si la règle veut qu'un soumis ne baise pas sa Domina, il n'est écrit nul part qu'une Domina n'a pas le droit de se faire remplir par un autre que son soumis... Il m'a juste fallu trouver le complice idéal, celui qui pourrait me baiser sans capote, celui avec qui je serais capable de jouir, tout cela pour réaliser un de tes fantasme, que tu viennes nous nettoyer lui et moi une fois notre plaisir pris..... (lire le texte sur l'annonce du pseudo Byron).
Je viens de prendre congé de notre invité, cet homme à qui je viens de m'offrir totalement pour notre plus grand plaisir, et qui vient de me remplir dans tous les sens du terme.
Après que tu nous aies nettoyé je t'ai installé dans notre chambre et je te retrouve là, à quatre pattes, le cul tourné vers moi, la queue tenue par la cage de chasteté... A ce moment précis mon envie serait de me coller à toi, et de me faire câliner, j'avoue que les plans ou je te cocufie ne sont pas mes préférés, je me sens vraiment dans l'infidélité, mon coté romantique me perdra, pourtant je suis Cypris tu m'as défiée... tu dois payer.
La valse des supplices commence, après t'avoir rougi le cul au martinet et à la cravache c'est la cire que je laisse couler sur tes couilles emprisonnées, tes gémissements me comblent et m'excitent, mes mains caressent, mes ongles griffent, je m'assieds sur ton dos et fesse ton cul ainsi offert, je promène sur toi cette roulette recouverte de punaises que tu aimes tant, les mots accompagnent mes douces tortures, je suis au dessus de toi, je coule et t'inonde.... Tu es maintenant allongé sur le dos baignant dans mes humeurs tièdes, j'ôte ta cage, libérant ta queue, tu m'offres un phallus triomphant, bandé à son extrême, prêt à exploser, je m'en saisie et je branle doucement tout en faisant couler la cire sur ton gland gonflé, ton corps ce tend, réclame, se cabre, tu es beau ainsi offert à toutes mes perverses folies, un petit martinet de daim noir viendra ensuite fouetter ce sexe qui me nargue, je crève d'envie de m'empaler dessus, de m'astiquer, de dégouliner, d'en jouir mais cela te ferait trop plaisir de me voir craquer... Encore étendu je te laisse reprendre ton souffle je m'assieds fasse à toi et joue de ta queue avec la pointe de mes escarpins, j'écrase mes talons sur tes couilles remplies. Tu es à ma merci, et Dieu que je t'aime pour ce que tu m'offres... Je te fais te redresser, maintenant à genoux devant moi, mains derrières le dos, la tête appuyée au creux de mon épaule traduisant ton abandon, je me saisis de ta bite et doucement je te branle jusqu'à ce que tu exploses dans ma main, alors seulement nos regards se croiseront, nos bouches se trouveront, tu ne cesses de me remercier alors que, moi sans toi je ne suis plus rien.
A jamais à Toi, A jamais à Nous
Cypris
le 05 mars 2010