Le blog de Cypris Maitresse amoureuse
Je savais que tu ne tarderais plus. Nu, je me mis en position, comme tu me l’as demandé, à quatre pattes, cul rehaussé et ouvert.
Il y avait quelque chose de plaisant à me retrouver ainsi dans la position que j’aimais tant te faire prendre. Mais je savais aussi que ce moment serait important, pour toi, pour nous.
Switcher n’est pas évident si l’on ne se place que dans le cadre d’une relation BDSM « vraie », sourire.
Mais tu sais que je suis d’abord un libertin, un sadien au sens philosophique et non un sadique.
Tout est permis, tout est possible.
Et tu l’as fait !
Comment traduire l’émotion qui m’a envahit dès que la porte s’est refermée. Mon corps est tendu, j’offre mon cul au mieux que je le puisse. Je veux qu’il te dise que je suis à toi comme je te l’ai promis, totalement à toi, totalement dans le jeu.
Quel bonheur de sentir ton pied sous mon visage. Tu as osé ! Tu es superbe. Je sais dès lors que rien ne t’arrêtera et que tu seras sublime dans ce jeu, dans ce rôle dans cette situation nouvelle que seuls nous pouvons comprendre.
Je bande. Le désir m’envahit. Je t’entends fouiller, préparer. Je t’imagine réfléchir, doser, peser telle ou telle façon de faire.
Les yeux bandés accentuent les sensations. Tu as bien fait de le faire. Je te sens, je te devine, je t’attends.
Puis viendront les pinces sur les seins. Ce n’est pas facile de les faire tenir et pourtant j’en meure d’envie. Les poids me procurent des sensations délicieuses. Puis les couilles, des pinces. Divin !
Je savais que la cire serait au rendez vous. Tu aimes tant cela. Brûlure et plaisir se mêlent. Je tends mon corps. J’en redemande. Sur les couilles. Envie de les avoir couvertes comme ma bite tendue. Je bande encore. Enfin les martinets. J’attendais leurs délicates morsures. Je les attends, partout, sur le dos, le cul, la queue, les couilles…
Tes mains, tes caresses, tes baisers, ponctuent ces moments délicieux et accroissent la tension.
Tu es superbe. Je suis fier de toi. Je suis comblé de ce partage, de cette folie.
Tu me suces. Tu me tutoies bien sur même pour me crier ton amour. Tu veux que je te baise mais je ne veux pas cracher dans ton con.
Tu as voulu que, pour t’appeler « Maîtresse », je jouisse sur tes escarpins puis que j’y lèche mon foutre jusqu’à la dernière goutte…je ne pouvais pas ne pas le faire.
T’appeler « Maîtresse » c’était te dire merci, de te dire combien tu es belle, combien je me retrouve dans ces jeux avec toi, combien tu m’es essentielle pour cela.
Il y a un moment que je savais que le « cul » sans toi n’aurait plus beaucoup de sens. Ce moment n’a pu que le confirmer.
Seuls nos imaginations, nos désirs, nos plaisirs nous guident.
Je ne sais pas quand cela s’est passé, mais notre complicité a dépassé ce que je pouvais imaginer. Je n’ai jamais connu une telle osmose dans ces jeux.
Cette passion qui nous unit a quelque chose d’indicible, quelque chose que nul ne peut comprendre, quelque chose qui ne peut que nous appartenir à tous les deux, à jamais.
Tout toi, oh ! Pardon, Maîtresse, à Vous !
Soumis ex aequo
encore merci a vous